x Nom :
-[ Takaaki
]-x Prénom :
-[ Aiko
]-x Age :
-[ 16 ans... Ou peut-être pas
]-x Description mentale :
-[ Comment pourrais-je bien vous décrire son comportement ?! Une vie si chambouler doit absolument faire naître certains sentiments inconnus, si étranger que parfois, son propriétaire décide de les cacher. Et c’est exactement ce que fait la jeune Aiko... Cacher ses sentiments. Aiko est une jeune fille, qui, si on croit bien la connaître, peut paraître comme une personne du moins, des plus banales. Mais en vérité, tout reste du contraire. Mais commençons par le début...
En compagnie des gens qu’elles aiment, Aiko fait preuve d’une grande générosité. Et à qui le dire ? Il est si facile d’engager la conversation avec elle ! Quelque fois même, celle-ci se reproche d’être un peu trop bavarde. Mais si sa ne fait du mal à personne alors... On pourrait même facilement dire que c’est une fille joyeuse, qui a toujours le sourire aux lèvres... Rien est faux ! Seulement... Ce n’est que l’enveloppe extérieur...
Aux plus profond d’elle, il n’y a place à aucun espoir. Tout n’y est que noir et remords. Au fond d’elle, Aiko le sait... Elle est morte... Simplement vidé de toute traces d’espérance, ne laissant qu’un grand vide que la souffrance comble. Un corps qui ne demande qu’à crier... Et c’est pour cette raison, aussi simple soit-elle, qu’elle cache ses sentiments... * Voir histoire * ]-x Description physique :
-[ Aiko n’a rien de banale vue de la facette ‘physique’ : pour une jeune fille, elle est même très jolie. Mais à vrai dire, elle s’en moque. D’après elle, l’apparence physique n’est qu’un atout... si on veut s’emparer de sa victime facilement...
Commençons par le plus important : son visage. Celui-ci, de forme ovale, présente de magnifiques courbes, comme le reste de son corps. En fait, la comparaison qui revient le plus souvent par rapport à sa silhouette reste toujours la même. En gros, autant de loin que de proche, son corps paraît à l’exception près d’une peinture dont le peintre ses attentionné mille et une heures de retouches afin d’y donner l’aspect si bien proportionné. Ses cheveux, quant à eux , sont doux comme de la soie. Longs et portant la teinte de brun-fonçé allant même jusqu’au noir, ils lui descendent jusqu’au milieu du dos. Parfois ondulés à la pointe, elle les garde quand même le plus souvent raides. Ses yeux, pour leur part, possèdent une particularité assez éprouvante. Oui, ils sont bruns, seulement, cela n’a aucun rapport. Vous savez, lorsqu’on dit qu’on peut facilement distinguer les émotions des gens juste en regardant dans leur yeux ? Et bien, c’est exactement le cas de Aiko et c’est pour cette raison que lorsqu’elle sent quelqu’un observer de trop près ses prunelles, qu’elle s’écarte...
Mais bien sûr, comme mentionné plus haut, les apparences sont parfois trompeuses. Gare à ceux qui tomberont sous son charme car, elle n’en ferais qu’une bouchée... Comme le fait la veuve noire avec ses victimes..]-x Village :
-[ Oto
]-x Rang souhaiter :
-[ Euh.. J'sais pas trop xD
]-x Histoire :
-[ Mon histoire n’est du moins que très banale. Je ne me suis jamais fait battre par mes parents, ni vraiment ressentie une haine si grande que tout mon être en serait obsédé . Une histoire sans histoire fixe, ni vraiment de faits marquants... Ou enfin.. Peut-être pas.
Je suis née à Konoha, un village qui d’après moi, signifie ce qui a de plus libre au monde. C’était un petit paradis sur lequel, chaque jour, je franchissait la frontière. Mes parents, comme dit un peu plus haut, ne m’ont jamais battu. Au contraire, rien ne les égalaient. Tout en me montrant les bases, j’apprenais à survivre dans cet univers hostile qu’es la vie. À qui le dit-on ? La vie n’a jamais fait de faveurs, ni vraiment de cadeau. Mais c’était l’un de mes dernier soucis. J’avais une famille, et c’était ce qui comptait.
Dans mes premiers âges, vers 6-7 ans, j’apprenais les tâches ménagères, afin d’aider ma mère. Je me souviens aussi , quelque fois, lorsque mon père me rapportait un shuriken. Bien que ce n’est jamais été mon désiré de devenir ninja, j’aimais bien m’exercer au maniement des armes et me faire passer pour une vraie de vraie shinobi. Notre maison se situait un peu à l’écart de la ville, à travers les montagnes et les forêts. Je pouvais donc facilement m’entraîner, sans les regards indiscrets de plusieurs. Mon seul spectateur était en l'occurrence, mon père. Bien que j’était nulle, celui-ci ne se décourageait pas pour autant, et continuait a m’acclamer. En fait, plus j’y pense, plus j’y trouve une logique. Mon père n’avait jamais pensé à me montrer comment bien tenir un shuriken... Non... Il voulait plutôt me montrer certaine valeur, ceux qui sont si invisible à l’oeil nu. Comme l’espoir. Mais ça, je ne le découvrit que quelques années plus tard...
En gros, je n’ai pas vraiment besoin de vous racontez cette section de ma vie. J’ai vécu ce qu’il y avait de plus normale... Ou enfin, a une exception près...
C’était une journée comme les autres. Une journée ordinaire à laquelle j’avais décidé d’accompagner ma mère au village. Nous y allions très souvent et pour ma part, assez jeune encore, j’y découvrais toute sorte de marchandise qui faisait, du moins, le bonheur de mon petit coeur d’enfant. Mais cette journée ne se déroula pas comme prévu... Jamais, autant moi que ma mère ne parvînmes à notre destination.
Nous marchions tranquillement. Par contre, j’avais pris quelque pas d’avance sur ma mère. Celle-ci me demandait souvent de ne pas trop m’approcher de l’orée du bois, mais vue d’un regard d’enfant, que pouvait-il y avoir de si mal ? Je le compris, même si je n’aurais jamais voulu le savoir.
J’entendis un cri. Celui de ma mère. Rien de plus sur quoi m’indiquer. Je me tourna afin d’y distinguer un indice de plus. Mais ce mouvement, aussi simple soit-il, n’aurait jamais dû été fait.
Je n’avais que 8 ans lorsque j’ai vu ma mère, tomber, inconsciente sur le sol. Un homme se tenait près d’elle, un sabre à la main... Je n’ai aucune idée si c’était le sabre de l’inconnu ou ma mère au sol qui m’indiquait un danger a proximité. Ce que je savais par contre, c’était qu’il était là, devant moi.
Courir n’aurait pas été une bonne idée. Bien que je sois rapide, ma mère se trouvait toujours là. Jamais je ne l’aurais abandonné. Mais peut-être que...
Une main agrippa fermement mes cheveux, me tirant vers l’arrière. Je poussa un cri de douleur, tout en essayant de mordre mon adversaire. J’avais beau griffer, me débattre, je n’avais aucune chance. Mais l’homme, lui, paraissait plutôt s’amuser du spectacle.
< Grrr... Lâche-moi ! >Répondant à mon ordre, l’homme me relâcha et me donna une violente poussé. Inutile de vous précisez que j’arriva aux côtés de ma mère... Je profita de l'occasion pour lui tapoter les joues, afin de la réveiller... Rien à y faire.
Je ne sais pas combien de temps en réalité aie-je essayer de la réanimé jusqu’à ce que je m’aperçoive d’un détail.
Morte...
Ma mère était tout simplement morte. Je l’aurais su plus tôt, si j’avais remarquer la blessure béante qu’elle portait sur son ventre, ainsi que le sang qui coulait abondamment.
Mon sang se glaça et du coup, je me figea.
Une fois dans ma vie, j’avais dû affronter la mort. Mais pas avec le sang et tout. Simplement, ma grand-mère, morte de vieillesse. Mais ce n’était pas le cas de ma mère. Elle n’était pas morte de vieillesse. Au contraire.
L’homme se rapprocha doucement. Mais je m’en fichais. Le monde avait arrêter de tourner pour moi. La simple vue de ma mère, étendue sur le sol, morte, vidé de son sang... Elle qui souriait toujours, elle qui appréciait la vie... Elle qui me montrait a devenir qui je suis... Elle qui était ma mère, venait de disparaître à jamais.
La lame d’un sabre me sortie de mes pensées. Celle-ci se trouvait plus précisément sous ma gorge.
< Tu veux vivre, petite ? >Sa voix ne couvrait ni haine, ni mépris. Seulement neutre.
Mais malgré ce détail, je n’osais pas répondre. J’étais toujours figé. Je venais de voir la mort, et maintenant, elle se trouvait en face de moi. Je crois que je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie.
En même temps, un sentiment étrange m’envahissait. Un sentiment, dont je n’avais jamais eu connaissance auparavant...
La haine.
J’haïssait cet homme, autant pour le mal qu’il avait fait a ma mère, autant pour le mal qui causerais. La seule envie de lui sauter au visage m’apparaissait une bonne suggestion.
Mais je m’y résigna.
< TU VEUX SURVIVRE OU NON ? >Cette fois-ci, l’homme n’attendrait pas plus longtemps. Ma haine s’était tapi dans un coin sombre de ma tête.
L’homme se pencha afin de distinguer mieux les traits de mon visage.
Moi, j’étais trop préoccupé à ne pas pleurer pour faire quoi que se soit. Les larmes me montèrent vite aux yeux : c’était la fin...
Mais mon corps refusa. Et du coup, j’ouvris la bouche et dit ce qui me passa le plus vite par la tête.
< Oui... >Et sur ce, je partit en sanglot. Rien a y faire.
Contrairement a mes attentes, l’homme rangea son sabre, se releva, et me tendit la main.
< Allez... >J’essuya mes larmes. Je devais arrêter de pleurer. Cela ne servait à rien... Rien du tout. Je devais arrêter...
Sans perdre une seconde de plus, l’homme m’empoigna le poignet et me fit lever d’un bond. Je lui lança un regard, malgré ma peur, qui lui indiquait clairement que je le haïssait. Mais il avait l’air de s’en foutre. Rien n’avait l’air de le déranger. Pas plus de la mort de quelqu’un.
< Bon... Suis moi. >Le suivre ? Hors de question. Le corps de ma mère devait...
< ALLEZ ! J'attendrai pas toute la journée ! >Je ne lui jeta même pas un regard. Bien que le haussement de sa voix m’ai donner la chair de poule, je ne broncha pas.
< Non... NON ! Ma mère est là et.. et... >Le tout se déroula en quelque secondes. Il sortit son sabre et s’approcha aussi vite possible de moi ( ce qui était très rapide même ) et re-pointa pour la deuxième fois sa lame sous le dessous de ma gorge.
< Tu n’as pas bien compris, petite... J’ai dit, veux-tu survivre, OUI ou NON ?! >Il n’avait pas l’air de rigoler. Devais-je vraiment le suivre ? J’avais l’impression qu’une petite voix à l’intérieur de moi m’indiquait formellement de ne pas le suivre. Mais encore une fois, mon corps lui, se refusait de se laisser ainsi mourir. Alors, lorsque l’homme rangea son arme, sans les commander, mais jambes firent quelque pas.
< T’a pas intérêt à essayer de t’échapper. Sinon, je t’égorge sans pitié... >Parce qu’il pouvait ressentir de la pitié ? Puff...
Pendant que mon corps avançait au rythme de l’inconnu, je jeta un dernier coup d’oeil derrière moi. Et c’est à ce moment que la haine décida de remplacer la peur.
Comme j’haïssait cet homme. J’étais certaine qu’avec toute cette rage à l’intérieur de moi, j’aurais été capable de le tuer sur le champ. Mais je ne devais pas. J’avais encore plein de questions qui me trottaient dans le tête et bien que je ne le veuille, je devais y trouver une réponse.
Mon père était-il mort lui aussi ?
Ou était-ce simplement une attaque au premier venue ?
Si oui, pourquoi nous ?
Mais surtout...
Pourquoi m’avait-on épargné ?
Certes, j’étais encore jeune. Mais plus le temps avançait, plus les questions devenaient de plus en plus nombreuses et les réponses, tant qu’à elles, très rares.
Nous marchâmes pendant quelque heures, qui en fait, me paraissait comme une éternité. Pourquoi étais-je là, à le suivre comme un...
C’est alors que je compris... J’étais morte. Ou plutôt, mon corps n’avait plus d’âme. J’étais perdu sans elle. Je n’était plus moi, plus rien. Toute trace de vie avait disparu. J’étais...vide.
Nous arrivâmes à une une petite maison. J’en déduis que c’était celle de l’homme, puisqu’il y rentra à l’aide d’un clé. Sans aucun mots, je le suivit jusqu’à l’intérieur et referma la porte derrière moi.
< Alors... Fais comme chez toi... >Quoi ? QUOI ? Il venait de tuer froidement ma mère, j’en étais toujours déboussoler pour une petite fille de 8 ans, je me trouvais en compagnie de l’assassin qui lui, était près de me sauter à la gorge au moindre signe d’hostilité et... Et il me demandait de faire comme chez moi ? C’était a en plus rien comprendre.
Voyant mon expression, il poursuit.
< Écoute, je n’ai aucune envie de te tuer... Tu m’as dit que tu voulais survivre al... >< ALORS POURQUOI AVEZ-VOUS TUER MA MÈRE ? >C’était plus fort que moi... Rien ne m’avait retenue, et même si j’en aurais eu le pouvoir, je ne l’aurais pas fait.
< Parce qu’elle était sur mon chemin... >Réponse, du moins, remplie d’énigmes que j’essaye toujours, même encore aujourd’hui de résoudre. Comme plusieurs autres...
Bref, pour vous faire sa court, l’homme s’appelle Kinsuke. Les années passèrent, et en tout, enfin je crois, j’en compta 8. Pendant celle-ci, Kin’, comme j’avais pris l’habitude de l’appelé, devint mon mentor. Malgré moi, mon corps avait décidé de survivre... Et je devais en payer le prix. Autant que j’étais nulle en art du combat, Kin’ à décider de changer le destin, autant qu’il avait changé le mien auparavant, faisant de moi, une combattante hors paire. Chaque jour se présentait sous forme d’entraînement intensif, ne me laissant ni temps de penser à ma famille, ni à moi non plus.
...
C’était une journée comme les autres. Une journée ordinaire à laquelle j’avais décidé de passer ma journée à m’entraîner au maniement des armes, seule, dans les bois. Au fil des années, j’avais appris à respecter Kinsuke. Même s’il avait changé ma vie, je lui étais reconnaissant de m’avoir laissé la vie sauve. Peut-être avait-il raison ? Peut-être était-ce simplement le sentiment de survit qui permettait à mon corps de rester en action ? Ou aurais-je dû périr et rejoindre ma mère ? Malheureusement pour moi, cette question me trotte dans la tête, chaque jour de mon existence.
Mais cette journée là n’y faisait pas exception. Mon entraînement fini, je retourna à ‘ la ‘ maison. J’étais épuisé, ayant passé ma journée à essayer toute sorte de nouvelles techniques ainsi que m’améliorer au maniement des armes. J’allais pour ouvrir la porte, un mouvement mécanique, mais cette fois-ci, elle était déjà ouverte. J’en fus surprise, mais encore plus lorsque j’y vis celle qui m’attendait à l’intérieur.
Effondré sur le sol, Kin’ ne bougeait presque plus. D’un geste, j'accourut vers lui.
Comment cela pouvait-il se passer ?
Pourtant, j’avais toujours été certaine que Kinsuke était LE plus fort. Alors, pourquoi giseait-il l...
< Ai’... >Non... Il ne pouvait pas mourir... Non ! Pas maintenant ! Pas tant que je n’avais pas réussis à le pardonner. Pas tant que je n’avais pas pris ma revanche.
< Attends... Tu ne peux pas mourir... Pas avant.. >< Que tu n’es pris ta revanche ? >Bien qu’il soit affaibli, il réussissait à lire dans mes pensées...
< Il faut que tu sâches Aiko’... ( il prit une pause ), le monde est encore plus dur que tu ne le crois. >Un long silence s’ensuit avant qu’il ne continus.
< Si tu veux survivre... Il te faudra... Être plus forte... Que n’importe qui... >Sa voix se fit de plus en plus faible, jusqu’à ce que je constate qu’il s’était éteint.
Comment vous décrire la rage qui m’enveloppait !? Moi, Aiko Takaaki, ayant suivi un entraînement de plusieurs années, juste pour être capable de reprendre ma revanche un jour, voyait son univers s’écrouler. Mais certainement pas à cause de la disparition de cet être.
Je n’avais jamais fait confiance à Kin’. Mais il était un bon mentor. Dès le début, j’avais compris que je n’étais pas assez forte pour le battre. Pour moi, il représentait la force même. Ses entraînements dont il m’avait obligé à suivre n’était pour but que d’assouvir ma vengeance, un jour... Et ce, il le savait.
Mais j’avais échoué. Il avait été tué par qui ? Aucune idée. Mais il était partie, emportant avec lui, toute espoir de faire disparaître cette haine qui me hantait.
Encore aujourd’hui, malgré les nombreuses questions qui me restent, je m’entraîne, essayant de trouver des techniques, du moins, assez fortes... N’importe quoi, mais quelque chose qui m’aiderait simplement à... à devenir plus forte.
Loin de ce monde, j’ai gardé la maison de Kinsuke. Bien qu’elle ne me rappelle que de mauvais souvenir, c’était mieux que rien. J’ai aussi appris qu’elle se trouvait sur le territoire d’Oto, un village non loin de Konoha...
J’aimerais bien vous finir mon histoire du style ‘ et j’attends toujours celle ou celui qui me sauveras ‘... Mais je dois m’abstenir. Car plus rien au monde.. ne peut m’aider...
]-x P.S :
-[ First : Désoler pour les fautes >.< Ça jamais été vraiment mon fort....
Second : J'vais finir dans maximum 3 jours... Pas plus
![Razz](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_razz.gif)
Third : J'suis pas une pro de Naruto --" J'connaît un peu, mais je suis certainement pas callé comme vous l'a dedans ! :O Alors faudrait peut-être m'expliquer quelque bouts importants à savoir
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