Nom:Uchiwa
Prénom:Itachi
Age:17ans
Description mentale (2 lignes minimum):Itachi est devenu calme il veux toujours voler les yeux de son petit frère mais considére plus son allier Deidara avec qui il taff comme un frère.
Description physique (2 lignes minimum):Itachi porte sa veste de l'Akatsuki en dessous une tenue noir des plus simple avec le signe du clan uchiwa son bandeau de Konoha rayé qui fait de lui un déserteur
Village:Akatsuki
Rang souhaiter:Chef de l'Akat ou membre
Histoire (5 lignes minimum):
Itachi un ninja extrêmement doué (dès son plus jeune âge, il parvint rapidement à maîtriser le Sharingan) qui devient la fierté de son père, Fugaku. Les habitants de Konoha reconnaissent sa formidable (et précoce) avancée dans la hiérarchie ninja du village. Il devient Genin à 7 ans, il maîtrise le Sharingan à 8 ans, Chūnin à 10 ans et a 13 ans il devient le chef de l'ANBU .C'est une période durant laquelle il est relativement proche de son jeune frère Sasuke, ce dernier étant relativement introverti, ceci du à l'exceptionnel talent de son frère ainé. Mais lorsqu'il découvre certaines vérités sur son clan en rapport avec son talent et plus précisément le Mangekyou Sharingan, ses relations avec sa famille se dégradent peu à peu.Par hasard, il découvre que son Sharingan peut évoluer en Mangekyou Sharingan (un Sharingan beaucoup plus puissant) à la seule conditon de tuer son meilleur ami (ce qu'il fit). Possesseur de ce Dōjutsu ultime, il exerce son pouvoir sur son propre clan et tue un à un tous les membres, parents inclus, sauf Sasuke, qui échappe au massacre. Lorsque Sasuke revient, il a l'effroyable vision de voir Itachi et les cadavres de ses parents étendus sur le sol. Itachi lui fera subir un genjutsu qui mettra en boucle les visions du meurtre et de la torture de ses parents. Sasuke, terrorisé, fuit en suppliant son frère de ne pas le tuer. Itachi apparaît en un éclair devant son frère, lui affirmant qu'il ne le tuera pas, celui-ci étant bien trop faible et ne présentant aucun intérêt, même à être tué. Il dit à son petit frère que s'il veut le vaincre, il doit posséder les mêmes yeux que lui et lui lance: "Si tu veux me vaincre, haïs-moi, déteste-moi, et accroche-toi pathétiquement à la vie". Après ces paroles, il utilise son Sharingan pour endormir son petit frère. Il disparaît de Konoha à la fin de cette effroyable soirée. Il n'y réapparaîtra que sous le costume de l'Akatsuki.
Arrivant en sueurs, le souffle court dans la ville de konoha, Itachi bloqua littéralement devant la maison des Takushi. Depuis quand, n’avait-il pas prit le temps de s’accorder un bon bains chaud ? Il sortait, d’un léger entraînement, et ses muscles étaient encore tendu. Tiens donc ? Pourquoi pas ? Evidemment, comme tout loisir, le Rotenburo se paye. Combien avait-il sur soit ? Il lui semblait que sa bonne mère, lui avait confié quelques sous pour un repas à l’académie. Repas qu’il n’avait pas prit, pour des raisons qui le regardaient. Il avait donc encore à sa possession, suffisamment d’argent pour prendre un petit bain. Il n’hésita pas. Le jeune garçon, d’un pas décidé, son air toujours aussi calme, s’avança en direction de l’entrer du bain. Interdit aux mineurs ? Comment ça ? De toute façon, ils ont commencé à accepter les jeunes, depuis le moment ou les jeunes ont commencer à se tromper de bains, en entrant pas effractions cause de n’avoir été accepté.Alors qu’il allait entré dans la grande maison, deux jeunes et ravissantes demoiselles aux yeux magnifiques y sortirent l’air apaisé. Comme aimanté, le jeune garçon tourna la tête en leurs direction. Mais alors qu’il se retournait pour admirait la démarche majestueuse des jeunes et belles femmes, Itachi manqua l’entrée et se prit la jointure de la porte dans le visage. La douleurs s’empara de lui, se recroquevillant sur lui-même *Mer** ! Bordel ! Ca fait un mal de chien !*Se redressant dignement, il se tenait toujours le nez, qui avait virée au rouge. C’est alors qu’il entra et se présentant à l’accueil. *Allez, on essaye*Sans hésiter, le jeune homme lança sa serviette sur le côté et plongea dans la source chaude. Quelle agréable sensation qui s’empara du corps du jeune homme. Se laissant immergé jusqu’au cou, Itachi dégustait calmement le bonheur d’un bain chaud. Ici, tout ses soucie, douleurs, irritations, s’estompèrent. Il prit le plaisir de se laisser aller durant cette agréable demi-heure. Se baignant, se nettoyant se massant, il se lavait de toutes les mauvaises choses qu’il avait pu emmagasiné. A savoir toute ces discrimination, encore et encore qui le hantait. Tout ces préjuger, toujours pour le faire baisser les yeux. C’était fini. Il trouvait enfin, une raison de plus pour vivre : Prouver sa valeur. Il se nettoyait maintenant des taches du passé. Lorsqu’il ressortirait, il serait neuf, prêt à prendre un entraînement rigoureux et personnel. Les vapeurs qui l’entouraient le bercèrent. Sentant cette chaleur l’enivrer, agir sur son corps, l’apaiser. Il se laissa aller sans trop pouvoir tenir tête à cette somnolence. Sa tête se posa sur un rocher, et pourtant si dur soit-il, Itachi s’endormi. En lui, l’inconscience, voie de la vérité prit le dessus.
Alors qu’il était autrefois dans un bain chaud et agréable, le jeune garçon se retrouva dans une grande maison traditionnel, apparemment abandonnée. Se sentant perdu, il chercha d’abord une explication à ce changement brutal. C’est alors qu’une voix lui parvint. Celle-ci, résonnait dans cette maison, comme les mots douloureux dans sa tête. « Approche, si ton courage te l’autorise. » Ces mots, lui glacèrent le sang. Il eut une sensation étrange, comme s’il allait mourir. Ses membres se mirent à trembler, terrifié de cet évènement mystère. Mais fronçant les sourcils, il s’approcha d’un des murs de cette maison, et ouvrir une première porte. Cette porte menait à une autre salle, vide, une autre porte en face. « La peur, sèmerait donc le doute en toi ? » Agacé de cette voix, mais toujours craintif, ressentant ces sensations funestes, il avança doucement vers la porte. Lorsqu’il posa sa main dessus, il reçu comme un choc. Comme si, la prochaine salle serait bien moins propre que celle-ci. Il souffla, profondément pour évacuer le stress qui l’habitait. La peur, la peur, la peur. Sa volonté, reprit légèrement le dessus, et obligea le jeune garçon à ouvrir la porte. Ce fut d’un coup brusque et violent qu’il l’ouvrit. Alors, la terreur s’empara de lui. Son cœur, cessa de battre, son sang, se figea. Ses yeux s’écarquillèrent à ne plus en pouvoir. Il se mit à claquer des dents. Ce qu’il y avait dans cette pièce, était plus d’une dizaine de cadavres sauvagement abattus. Pas n’importe quels cadavres, tous, avaient un petit air de famille qui lui rappelait vaguement sa mère, et les seins. Il sentit son estomac se nouer durement. Mais alors qu’il pensait vomir, une vision des plus atroces lui parvint. Il figurait parmi les cadavres. Non, il ne figurait pas, mais tout ses cadavres, étaient tous, le sien. Une larme de terreur s’écoula lentement sur sa joue. *Pourquoi ?* Il remarqua, au milieux de ses marres de sangs. Que tous ses cadavres, n’avaient plus de yeux, et ses cheveux avaient été partiellement taillés. « La peur ? » Encore cette voix.. Il devait continuer, mais si ses jambes refusait tout mouvement. En serrant les dents, et en fermant les yeux, il avança vers la porte suivante. Plus il rentrait dans la salle, plus il ressentait cette ambiance mortuaire. Il se sentait mort, dépourvue d’âme, comme corrompu. *Pourquoi ?* Enfin, il arriva devant la porte, et l’ouvrit, s’échappant de cette pièce sans regarder la suivante. La mort, qui dans la pièce précédente était omniprésente, avait définitivement disparue. C’était maintenant, plus une sensation de froid, qu’une sensation de mort. En effet, lorsqu’il ouvrit ses yeux d’azur, traumatisé, le jeune garçon se trouvait à l’entrée d’un profond tunnel qui descendait dans l’abîme. Il ne pu voir en fait, que les premières marches. Les suivantes étaient englouties dans les ténèbres. La respiration saccadée, il souffla profondément. Prenant sur soi, il commença, lentement, à entrer dans l’obscurité.*Pourquoi ?* Bientôt, il ne voyait plus rien. Progressant lentement, il avançait à tâtons, de peur de rater une marche. Alors peu à peu, au loin, une lumière commençait à apparaître. Au fur et à mesure que le jeune homme avançait, la lumière semblait plus flagrante. Les genoux toujours tremblants, il commença à avancer un peu plus vite. Enfin, il arriva à la sortit du tunnel. Il se trouvait à présent, dans une gigantesque pièce de pierre. D’un côté comme de l’autre, de colossales colonnes soutiennent le plafond. Quelques bougies éclairent le centre. Itachi avança donc en ce centre, et demanda d’une voie hésitante. « Qu.. qui êtes vous, e.. Et pourquoi.. » Il n’eut ni le courage, ni la penser pour terminer sa phrase. C’est alors que deux grands oeils lumineux apparurent de l’obscurité. Deux grands oeil froids, perçants. Comme si un serpent géant le guettait. Le jeune garçon cru de nouveau à sa fin. Un sourire pourtant agréable apparu. Et une voie, apparemment semblable à la sienne retentit. « De toute choses, il y a une leçon à tirer. Si tu as un but, donne toi simplement les moyens. Autrement, tu devras mourir comme tout ceux, dont la volonté était trop faible. Ne craint plus l'ombre qui t'entoure! » A penne avait-il terminé, qu’une eau chaude lui arriva aux pied. Surpris, Itachi baissa les yeux pour voir ce qui se passait. Par terre, il y avait de l’eau. Et peu à peu, le niveau montait. En quelques secondes, elle lui arrivait déjà aux genoux. Lorsqu’il redressa les yeux, le regard glacial avait disparue. Que ce passait-il ? Qui était-il ? Où était-il ? L’eau montait de plus en plus, elle lui arrivait maintenant à la taille. Alors, comme un instinct de survie s’empara de lui *survivre* Qu’allait-il faire ? Il se précipita vers le tunnel. S’il le remontait rapidement, peut-être irait-il plus vite que l’eau. Malheureusement, celle-ci montait à une vitesse folle, malgré la taille immense de la salle. Tout se passa rapidement. Bientôt, elle lui arriva au cou, il se mit à nager. Mais il se rendit alors compte, que ses chevilles, et ses poignets étaient de plombs. Il commença à se noyer.
" Mais réveille toi !" Une voie d’homme retenti. Alors, il fut reproposé dans le rotenburo. Un vieil homme lui avait immergé la tête sous l’eau. A penne Itachi eut-il ouvert les yeux, que celui-ci s’écria.
"Oh, ça se réveille le môme ? Ca fait presque plus d’une heure que tu dors ici ! Tu ne devais rester qu’une demi-heure. Tu nous as pris pour qui ? Fou nous le camps, c’est bon pour cette fois-ci " hurla le vieil homme. Le jeune garçon sursauta et s’empara de sa serviette.*Plus d’une heure ?* Il sortit rapidement de la salle, et se rendit directement dans les vestiaires. A la quatrième vitesse, il se sécha, se rhabilla. Quel était ce rêve ? Que voulait-il signifiait, et pourquoi tant de mort ? Il n’avait pourtant jamais rien cherché, les seuls problèmes qui l’entourait, était sa famille, et quelques uns des habitants du village qui le considérait comme incapables. Une fois habillé, il sortit le pas rapide du vestiaire. L’homme l’attendait à la sortit, le regards furieux. A penne lui présenta t-il ses excuses qu’il était déjà sortit. *Et bien.. je n’y retournerais pas de si tôt.. *Les question à l’esprit, l’esprit perturbé, Itachi rentra paisiblement chez lui...Les mains, les tibias et les coups recouverts de sang, le visage, les vêtements et les bras dont les manches sont retroussés recouvert de terres, Itachi marchait lentement dans les rues du quartier de son petit chez lui. Sa mère n’était certainement pas rentrer, tant mieux. Elle n’aurait certainement pas compris son état. De toute manière, vu le nombre de regards qui se posaient sur lui, elle serait au courant d’une manière ou d’une autre. Alors qu’il observait ce qui l’entourait, il pouvait comprendre que les dos retourné, les regards accusateurs, étaient tous forcément pour lui. Certain son, certains mots lui arrivèrent à l’oreille. Et, tous n’étais pas des compliments aussi agréable, qu’une très jeune chunnin lui avait fait.. «..Demande bien ce que cette incapable à encore… Pourriture ! Dire qu’ils se sont installé ici, ils auraient mieux fait de rester dans leurs terriers, maudit soit… Regardez moi cette dégaine, racaille ! Il s’est sens doute attaquer à plus fort que lui.. Monstre, vous ne nous enivrerez pas avec vos dieux profanes.. »Il préféra faire abstraction de tous les dires. Sa maison n’était plus bien loin, il allait enfin pouvoir se réfugier des regards et des préjuger. Ses mains le brûlèrent, les ouvertures étaient importantes. Enfin, il arriva devant la porte de sa maison qu’il ouvrit. Il plaça ses mains ensanglantées dans ses poches sales, pour éviter d’en mettre partout. Il déposa ses souliers sous la marche du Genkan, dans le sens de la sortit. Lentement, en évitant le plus possible de salir quoi que ce soit, il se rendit dans sa salle de bain. Ici, il se déshabilla, et se plongea dans un bain chaud, dont l’eau prit rapidement une couleur rougeâtre, marron. Observant, ses mains, il se rendit compte, qu’il arrivait presque à voir l’os des phalanges. *…merde..* Tanpi, il espérait seulement guérir rapidement. Mais même dans ce bain, le sang continuait à couler. Nu et humide, il se leva et se rendit devant l’armoire à pharmacie de la maison, qui était évidemment dans la salle de bain. Le sang sec, ainsi que la terre avaient disparut de son corps, il était de nouveau propre.. Saisissant une longue bande blanche et propre, il se banda les mains, les avants bras, les tibias et les pieds. Soigneusement, il doubla les bandages. Peut-être, ces tissus lui permettrons de continuer l’entraînement ce soir.. Sur les phalanges, comme sur les tibias, une petite tache rouge apparut. *Le sang va s’arrêter, pas d’inquiétude. *Il se rhabilla avec des vêtements propres, et rangea ses habits terreux dans un petit bac à lingue sale. La bain se faisait sentir. Il commença d’abord à nettoyer ce qu’il avait salit lors de son arriver. A savoir, la marche du Genkan, le couloir et la salle de bain. Lentement, il passa la serpillière. Ses muscles ne lui permettaient pas de faire vite, tanpi, il avait encore le temps. Dans une heure seulement, son cours à l’académie ne faisait que commencer. Il avait encore largement le temps de manger. C’est d’ailleurs ce qu’il fit rapidement. Fouillant les placards, il trouva dans une petite bourse, quelques Ramens frais que sa mère lui avait sans doute acheté. Se les préparant, il ne tarda pas à manger sont léger repas, avant de s’accorder un moment de pose. Ses membres lui étaient encore douloureux, pourtant il se sentait de nouveau en forme. Lorsque l’heure sonna, il enfila ses tongues et se mit à trottiner en direction de l’académie. Les cours devaient reprendre, et peut-être essayera t-il de se rendre dans la classe du chunnin qu’il avait rencontrer dans les bois, Keïko Ikari…
Mar 18 Mar - 2:47